Tout d'abord, nous allons différencier deux termes qui ont un sens proche l'un de l'autre mais qu'il faut absolument pas confondre.
Le premier terme que nous allons définir, c'est le« dopage sportif », premièrement il concerne que les sportifs, qui consomment des substances ou font appel à des méthodes inscrites sur une liste qui est établie tous les ans par l'Agence Mondiale Anti-dopage (AMA) lors de compétitions ou de manifestations organisées par les fédérations telles que les championnats de France d'athlétisme ou la coupe du monde de la FIFA (Fédération Internationale de Football Association). C'est une pratique interdite.
Le deuxième terme est la « conduite dopante », c'est l'utilisation de substances dans le but de surmonter ou affronter un obstacle, qui peut être réel ou ressenti, afin d'améliorer ses performances, ces performances peuvent être physiques, intellectuelles, artistiques mais d'autres encore car il y en a une multitude de conduites dopantes tels que passer un examen, passer un entretien d'embauche, une épreuve sportive et d'autres encore. Le dopage tel qu'on le connaît aujourd'hui est utilisé pour la première fois à la fin des années 50, où il s'est professionnalisé et généralisé dans certains sports.
Le dopage s'est donc développé à mesure que les disciplines sportives devenaient professionnelles. En Europe, trois disciplines sont particulièrement exposées au dopage, le cyclisme, le football et le tennis.